" Au pays de la Débauche, tout n'est qu'Apparences."
Perséphone, elle est belle. Elle est d'une beauté subtile, même quand elle n'est pas maquillée. Quand la jeune fille vous accordera l'un de ses rares sourires, quand ses lèvres s'étireront, cela transformera son visage. Il irradiera de l'intérieur. Tout simplement. Quand elle sourit, Perséphone, elle a des fosettes, ses paumettes se réhaussent, des plis se forment au coin de ses yeux. Mais c'est un vrai sourire, qu'il soit moqueur ou sympathique, jamais hypocrite. Car, la plupart du temps, ses lèvres sont fermées en une sorte de moue boudeuse que certains trouvent séduisante. Ses yeux sont noirs, bordés de longs cils.Elle souligne en général son regard d'un trait expert de liner. Elle se maquille peu, préférant la simplicité à la superficialité. Au niveau du corps, Perséphone est ce que les gros lourds qualifient de "bien foutue". C'est vrai, elle a une jolie silhouette dont elle prend soin sans trop être obsédée par les régimes et compagnie.

Comment s'habille t-elle ? N'étant pas spécialement riche, Perséphone s'habille dans les mêmes boutiques que le commun des mortels, c'est à dire H&M, Urban Oufifters, Forever 21, Topshop... Elle s'habille à la pointe de la mode, sans faute de goût, plus une petite touche personelle, comme des accessoires ou un vêtement vintage sorti d'une friperie.
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10 lignes minimum

" Je l'aime... Tout le temps, toujours, à en crever. Je l'aime endormie ou déprimée, je l'aime même cokée, abrutie, dégradée. Elle réussissait, je ne sais pas comment, à rester tellement pure dans les situations les plus dégradantes que j'avais envie de me mettre à genoux devant elle."

Perséphone est plutôt compliquée à cerner. Elle collectionne les défauts, mais a quelques qualités aussi. Alors, je vais essayer de vous résumer, vous en tirerai ce que vous voudrez en comprendre.

Perséphone est une artiste. Rêveuse et créative, elle s'interesse à toutes les formes d'arts possibles et imaginables. Son coup de coeur ? La danse, et le violon. Pleine d'imagination, elle est très douée pour mentir et inventer des histoires. Curieuse, elle veut tout savoir, mais elle sait garder un secret. Perséphone a également peur de l'ennui. La jeune fille est capable de tout faire pour le tromper, dépassant ses limites, se mettant en danger ou en faisant la fête toute la nuit. Débauchée et délurée. Mais détrompez-vous, la jeune fille a une cervelle, et sait s'en servir. Ce n'est peut être pas un génie, mais elle est tout de même assez intelligente et mature pour son âge. Grande Gueule et Franche, elle n e supporte pas l'hypocrisie et les pestes, et le fait savoir grâce à son sens de la répartie sanglante. Car la jeune fille n' a pas la langue dans sa poche. Si elle ne vous aime pas, vous vous en prendrez plein la figure. Très charismatique malgrés tout, elle est à l'aise oralement, et sait faire passer ses plus gros bobards pour des histoires sans importance, même si elle n'aime pas mentir. Accro à toutes sortes de substances, la cigarette, l'alcool et la drogue, elle est comme brisée en elle même, vulnérable. Pourtant, la demoiselle a un tempérament de feu. Irascible et colérique, impatiente et fougueuse, elle fascine autant qu'elle est détestée. Effrontée, elle ne suit pas les règles.
Maladroite, à part quand elle danse, elle fait régulièrement tomber des trucs ou elle perd ses affaires, au choix. Ça lui donne un petit charme. Désinvolte, elle aime se la couler douce et ne s'affole pas pour rien ; mais son côté lunatique peut vous jouer des tours. Perséphone est à fleur de peau, elle passe du rire à la bouderie en un clin d'oeil, du calme à la colère, d'une fille sympa à une fille farouche.
Têtue, ou plutôt devrais-je dire déterminée, son rêve est de devenir danseuse profesionnelle.
Simple, la jeune fille ne fait pas de chichis et s'adapte rapidement.

20 lignes minimum

"Moi qui fuyais l'amour, qui le fustigeais à l'envi. C'était sans compter avec l'existence d'Andrea. Nous sommes la même âme dans deux corps et, quand ceux-ci s'unissent, nous ne formons plus qu'un. Pendant six mois, je ne suis pas sortie. Je n'ai rien bu, rien pris. Aucun manque. Je me suis rassasiée en dévorant sa peau, mon besoin de débauche s'est consumé à la flamme de ses yeux.
Vivre d'amour, d'Evian et de Marlboro Light.
Et croire que ça suffit. "

" Il parait que j'ai une vie géniale. Je sais pas. Être trainée partout dans le monde par des parents complétement fous, ça va quelques mois. Au bout de plusieurs années, changer d'école tous les quatres matins, tu commences à en avoir marre.
Bon, je reprends tout du début. Je m'appelle Perséphone Lullaby Carmichael. Prénoms ridicules n'est-ce pas ? Mais bon, j'aurais pu tout autant m'appeller Jane ou Lolita. Alors je me plains pas. Enfin pas trop. Ouais, ouais. Je sais ce que vous voulez dire. Petite fille pourrie gâté qui voyage partout dans le monde et qui s'en fout. Et bien, exactement. C'est ma vie, et je la trouve normale et très sympa, même si au bout d'un moment faudrait penser à se poser. Je suis née à Sydney, en Australie, le 5 mai 1995. Et depuis, mais parents ne font que voyager pour leur boulot ou je ne sais quoi. Mon père réalisait un documentaire sur le Monde. Sujet plus inintéressant tu meurs. Mon père, c'est Iadan Carmichael. Tu dois le connaître, tu sais, ce jeune et beau journaliste qui venait de temps en temps dans US Weekly ? Et bien, il a rencontré ma mère, Belladonna Spatzteivitto, une italienne complétement déjantée au nom encore plus pourri que le mien. Apparemment, entre eux, c'était l'amour passionnel. Je me permets d'en douter, vu que maintenant ils se sont séparés. Ma mère était scientifique. Elle l'est toujours d'ailleurs. Quand j'étais petite, elle travaillait sur la faune et la flore. Maintenant, elle s'est posée au Japon et ravaillerait dans l'armement nucléaire. Plus exactement le même sujet. Mais bon, qu'est-ce que j'en sais, la science, ça n'a jamais été ma tasse de Starbucks. J'ai toujours préféré l'art. Comme on voyageait en bâteau avec mes parents, je dansais sur le pont, et je jouais du violon pour mettre l'ambiance. J'ai vu pleins de pays dans ma vie. Le Brésil, l'Argentine, l'Angleterre, L'Egypte, Hawaï, etc... Je crois que c'est pour ça que je m'ennuis autant à présent, vu que ma vie en Amérique est devenue plus que banale.

Car, quand j'ai eu 12 ans, mes parents ont décidé d'arrêter de jouer les explorateurs : le documentaire de mon paternel était bouclé, ma mère avait céssé ses recherches pour se concentrer sur un sujet plus "sérieux". Ça a été le début de la fin, le commencement de l'apocalypse la plus totale. Pour moi, ça a été le début de la débauche la plus totale également. Donc, mes parents s'étaient séparés. Ma mère s'est cassée au Japon : de temps en temps, je vais la voir en vacances. J'aime pas vraiment le Japon, ce n'est pas un pays d'artiste, je le lui ai dis, mais je crois qu'elle s'en fiche. Ça ne m'étonne pas. Après tout, moi je m'en fous de ne plus la voir. Donc, j'ai vécu mon adolescence avec mon paternel. Ça a été une adolescence pleine de débauche, d'art, et de cafés Starbucks avalés sur le pouce, car j'avais intégré un collège de danse. Là, c'était toujours la débauche mais c'était le nirvana, l'extase la plus totale. C'était un incomplissement personnel, comme disent les psys. J'ai passé 6 ans là-bas, et, à la fin de ma scolarité, j'ai obtenu une bourse. Et mon père m'a inscrite ici, à Pleamore High School. Et je suis censée me réjouir ?

Ton pseudo : Hope
Ton âge : 13 ans Texte
Ta date de naissance : 2 juin
Fille ou garçon ? Filleuh ♥
Comment t'es arrivé ? Maintenant j'ai Google ♫
Code du règlement :OK by Leven.